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Les turpitudes d'Alain
23 juin 2017

Les festivals verts

Avec une programmation musicale solide et éclectique, cette sixième édition du festival écolo du bois de Vincennes revendiquait des valeurs de l’économie sociale et solidaire et de respect de l’environnement. Avec, parfois, quelques couacs… Depuis quelques années, des dizaines de festivals ont pris le fameux «virage vert». Gobelets réutilisables, tri intensif des déchets et énergie «verte» pour assurer le son et les lumières: les évènements de musique en plein air tentent de réduire toujours plus leur impact sur l’environnement et de sensibiliser leurs visiteurs. C’est le cas de We Love Green, qui s’est déroulé le week-end du 10 et 11 juin à quelques encablures de Paris. Labellisé festival écolo, on y a fait un petit tour d’horizon des initiatives environnementales et musicales, devenues désormais des arguments de vente. Cette année, avec 58.000 festivaliers, We Love Green a connu une affluence record, avec une fréquentation en hausse de 20% par rapport aux années précédentes. C’était évidemment l’occasion d’assister, en 48 heures, à plus de 40 concerts sur les 4 scènes différentes installées au coeur du Bois de Vincennes, parmi lesquels Justice, Moderat, Tshegue, Solange, Nicolas Jaar, Anderson Paak, L’imperatrice, Benjamin Clementine, Damso, Jon Hopkins, Maceo Plex, L’Imperatrice, Parcels et Agar Agar. Mais l’ambition du festival n’est pas que musicale, puisqu’il revendique de multiples engagements éco-responsables, parmi lesquels 100% du festival alimenté en énergie renouvelable, 100% des déchets triés ou compostés via un centre de tri visible sur le site du festival et une centrale énergétique Open Source couplant toutes les technologies avec des générateurs qui fonctionnent à l’huile alimentaire recyclée.

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